Paraboot

Pacific : Vert Foncé

290,00 €

Rémy Richard, cofondateur avec son épouse de la manufacture de souliers et bottes en caoutchouc Richard-Pontvert, dépose le nom Paraboot en 1927. Assemblage de « Para », un port d’Amazonie, d’où est exporté le latex, et « boot », une curieuse chaussure, qu’il a découvert lors d’un voyage aux Etats-Unis. Julien, son fils, entre dans la société en 1937. Plus passionné de nature, de chasse de pèche que par la ville et ses mondanités, Julien Richard recentre la fabrication sur les chaussures à semelles imposantes et cuir épais. En cousues « goodyear » ou « norvégien », elles sont destinées aux professionnels qui travaillent debout : agriculteurs, maquignons, bûcherons, bergers, postiers, ouvriers, artisans, qui doivent pouvoir compter sur des chaussures robustes mais confortables.

Paraboot devient dans les années 70 une référence de la chaussure technique de grande qualité et va jusqu’à séduire Haroun Tazieff pour l’étude des volcans ou encore Jean-Louis Turcat, emblématique pilote du Concorde et de l’Airbus, avec un modèle qui équipe toujours les pilotes des Mirage.

Les sandales Pacific, initialement conçues pour les moines Chartreux, sont de réelles chaussures adaptées pour la marche.

  • 100% cuir veau velours
  • Modèle Pacific
  • Vert Foncé
  • Semelle de marche en gomme
  • Taille légèrement grand, nous vous conseillons de prendre une taille inférieure. 
  • Fabriqué en Italie 

à propos de Paraboot

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A propos de Paraboot

Au début du XXe siècle, Rémy Richard, ouvrier-coupeur d'Izeaux petit village aux pieds des Alpes, fonde Richard-Pontvert avec son épouse Juliette Pontvert. Après avoir réparé des chaussures de l'armée pendant la Première Guerre mondiale, il remarque le potentiel du caoutchouc et finit par développer des semelles en caoutchouc et des techniques de vulcanisation. Rémy Richard dépose le nom Paraboot en 1927, assemblage de « Para », un port d’Amazonie, d’où est exporté le caoutchouc, et « boot », la curieuse chaussure en latex qu’il a découvert aux Etats-Unis.
Lorsque les chaussures aux semelles collées, moins chères, sont devenues populaires après la Seconde Guerre mondiale, Paraboot s'en est tenu à des semelles toujours cousues « goodyear » ou « norvégien » en cuir robustes pour les travailleurs. Parallèlement, la marque créee quelques modèles plus « légers » pour les architectes, géomètres ou autres vétérinaires. C’est ainsi que le modèle « Morzine » voit le jour. En 1945 c’est le tour de la légendaire « Michael ».

Des modèles spéciaux ont été développés pour les parachutistes, les explorateurs de volcans et même les pilotes des Mirage. L'entreprise produit également des chaussures techniques pour la moto, l'équitation et le ski, et ouvre même une usine de patins à glace en 1972.